Si vous désirez en savoir plus, voir même vous procurer quelques arbres truffiers, je vous invite à visiter le site de Truffes Québec.inc. À gauche, un ravin couronné d’arbres, dans lequel grimpe la route de voitures du causse Méjean ; à droite, dominant le beau courant d’eau de la célèbre fontaine de Burle, se montre un grand bâtiment qui a remplacé l’antique monastère en partie détruit ; plus haut, plaqué contre une falaise rouge, le petit ermitage tout blanc de Sainte-Énimie, et plus près, une grande partie du grand ravin du Bac, escaladé par la route de voitures du causse de Sauveterre ; entre les deux causses, au milieu de vergers, de bouquets d’arbres, de vignes, le Tarn qui brille au soleil ; au loin, en aval, les hauteurs qui font face à Pougnadoires ; en amont et tout près, les grandes roches façonnées en tours et en aiguilles du Prunet, Par le soleil, le site est charmant et magnifique ; par l’orage, il devient terrible ». « La rive gauche n’a pas de village à nous offrir et ne porte qu’un château miné ; mais quel site

Popinot avait le bonheur d’agir sur une plus vaste circonférence et dans une sphère plus élevée : il veillait à tout, il prévenait le crime, il donnait de l’ouvrage aux ouvriers inoccupés, il faisait placer les impotents, il distribuait ses secours avec discernement sur tous les points menacés, se constituant le conseil de la veuve, le protecteur des enfants sans asile, le commanditaire des petits commerces. Aujourd’hui, grâce aux voies ferrées et à la pasteurisation, le rayon d’approvisionnement de la capitale n’a presque plus de limites pour les industriels qui livrent en détail chaque matin du lait pur à 0 fr. Si les œufs ont enchéri plus qu’aucune autre denrée, c’est sans doute que les 250 millions de douzaines, auxquelles on évalue la ponte annuelle des poules françaises, ne suffisent pas à nos concitoyens. Le bon marché des œufs anciens est toutefois plus apparent que réel ; leur volume étant d’un tiers moindre que celui des nôtres, il en fallait beaucoup plus pour la même omelette et, par la sélection des races, ce comestible, sans avoir changé de nature ni de nom, se trouve lui aussi tout autre que par le passé. Nous achetons en effet à l’Italie, à la Russie et même à la Turquie un stock supérieur à celui que nous vendons à l’Angleterre ; supérieur en nombre, mais non pas en qualité, car les petits œufs exotiques se vendent moitié prix des œufs de choix, picards ou normands

Mon père sait quelle est cette autre raison, et nous aussi, nous le savons. Toutefois, lorsque nous savons qu’une marchandise traitée présentement de luxueuse, comme par exemple le gibier, contait le même prix jadis, nous sommes en droit de conclure qu’elle n’était pas autrefois plus copieuse ; et lorsque aussi nous sommes sûrs que la production d’un article s’est accrue dans une très large mesure, sans que son prix ait baissé, cela nous prouve que sa consommation a dû progresser parallèlement. La lettre est du 10 mai, date qui ne nous paraît plus extraordinaire pour cette primeur. Il arrive aussi qu’une denrée baisse de prix sans être plus offerte, ou hausse sans être plus demandée. En hiver, où son devancier vendait avec peine un millier de laitues, notre maraîcher en vend 50 000, et, malgré la hausse des loyers et de la main-d’œuvre, il y gagne encore. Ainsi la France de Guizot (l’homme du poétique conseil : enrichissez-vous), celle du Poincaré dont la barbiche tabou d’une petite érection impérative sut mettre fin à la dégringolade du franc, la France de ceux-là et des autres, alors même que son légendaire bas de laine, peu à peu, se métamorphose en bas de soie artificielle, demeure assez économe de mots, images, sentiments et idées, pour continuer à ne vouloir reconnaître son poète (?) classique de l’amour en nul autre que Racine

Voilà trois jours que je n’ai pas mangé, je suis un bandit ! J’y cours ; me voilà dans la grotte du Pausilippe ; j’en sors, toujours courant ; j’arrive au rivage ; je vois une barque, je veux la louer ; je demande quatre rameurs, il en vient six ; je leur offre un prix raisonnable, Fraîche Tuber Brumale en leur faisant observer que je n’avais pas besoin de six hommes pour nager dans une coquille de noix jusqu’à Nisida. Sans faire de publicité, Truffes Québec a déjà une liste de 600 à 800 acheteurs de truffes fraîches ou de produits dérivés. Or, la « légende » qu’on nous prête est une citation des propres paroles de Buloz dites un jour à M. Plauchut, paroles que notre regretté ami avait citées à la page 36 de son livre Autour de Nohant, et que nous avions copiées avec indication de ce livre et du nom de l’auteur du récit, M. Buloz, à la page 61 de notre volume II. « Nous avions fait notre compte, dit M. de Gourville, d’y coucher seulement une nuit, mais notre hôte nous ayant dit, au soir, que si nous y voulions dîner le lendemain, il nous donnerait une belle carpe, M. de La Mothe, pour cette fois, opina le premier à demeurer, et le lendemain, en la mangeant, nous la trouvâmes si belle et si bonne que nous louâmes fort notre hôte ; ce qu’entendant il nous dit que si nous voulions dîner encore le lendemain, il nous en donnerait une encore plus belle

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